mardi 26 février 2008

"La Fracture identitaire", Par Yvan Rioufol - Présentation de J.-P. Allali

upjf.org
L’auteur du « Bloc-notes » du Figaro, dont les chroniques se caractérisent par un refus constant du conformisme ambiant et par une liberté de ton qui est tout à son honneur, nous offre un livre lucide, courageux, certains diront téméraire, et que d’aucuns n’hésiteront pas à qualifier de provocant voire scandaleux.

Parce qu’il met carrément les pieds dans le plat, Ivan Rioufol, il faut le reconnaître, appuie le doigt là où cela fait mal : oui, notre pays est menacé d’implosion. Ce qu’il appelle fort justement la « fracture identitaire » est à nos portes. Notre pays, à l’histoire millénaire, héritée de Jérusalem, d’Athènes et de Rome et qui a bâti une civilisation et un art de vivre au cours de son histoire, risque, si on n’y prend garde, de se transformer en quelques années en une insipide et invivable addition de communautés autarciques repliées sur elles-mêmes et claquemurées dans des isolats. Avec, en toile de fond, un séparatisme ethnique dont l’islam politique, qui n’a rien à voir avec l’islam républicain, est le parangon. Les Français de souche sont devenus désormais, dans la vision de certains, des Souchiens, jeu de mots douteux et révélateur.

Où va la France, dans ces conditions ? Seule une adhésion sans faille de l’ensemble des habitants de ce pays, à l’esprit des Lumières, nous dit l’auteur, permettra à la France de rester ouverte et solidaire, fidèle à la devise qui orne le fronton de nos bâtiments publics : « Liberté, Egalité, Fraternité ».

MANIFESTONS À PARIS POUR LA RÉPUBLIQUE LAÏQUE !

ufal.org

Nous devons proposer dès à présent une manifestation monstre à Paris pour la République laïque, après les municipales. Même si nous brûlons les étapes, plusieurs mois sont nécessaires au minimum pour organiser cette démonstration. Nous devons donc proposer le plus rapidement possible une réunion de toutes les organisations de l’appel déjà réalisé et même au-delà pour débattre de cette proposition. Cette convergence est indispensable pour asseoir physiquement et élargir la force des défenseurs de la laïcité.
C’est pour cela que l’UFAL prend l’initiative de vous contacter pour promouvoir cet objectif.
N’hésitons pas, ne tergiversons pas : seule une manifestation de masse à Paris peut faire converger les énergies laïques et ériger un barrage contre la liquidation de la République.


lundi 25 février 2008

Islamisation des esprits : Stop !

http://stopislamisationdesesprits.blogspot.com/
Toute la presse danoise avait publié le dessin de Mahomet en bombe, après la tentative d'assassinat du dessinateur. Depuis une semaine, des émeutes ont lieu dans tout le pays, avec utilisation d'armes à feu par les émeutiers musulmans ...
Les Danois ont du courage, soutenez les !

La critique ou la peur de l'islam n'ont rien à voir avec du racisme ni avec de la haine envers quiconque, bien au contraire.
SIOE dénonce la KUFFAROPHOBIE :
la haine envers les non-musulmans prônée par l'islam, par le coran.

SIOE against Racism

Stop Islamisierung van Europa SIOE against Racism

Stop Islamisierung van एउरोपा


samedi 23 février 2008

MANIFESTATION INTERNATIONALE DE S.I.O.E. LE 15 MARS A AALBORG

Défendez la liberté de parole ou perdez la !
Non à l'autocensure et aux menaces de mort !
Oui à la démocratie et la liberté d'expression !





Le 15 /३/ 2008 à 13.00 sur Gammeltorv dans Aalborg, Danemark


Thème : Défendre la liberté de parole - ou la perdre !

Contexte/raison : de nouveau le Danemark est sous la pression de forces islamiques étrangères et intérieures. Après la première crise des dessins de Mahomet, les médias et les politiciens ont commencé à pratiquer l'auto-censure. Au Danemark il n'est pas illégal de dessiner Mahomet et aucune force ne devrait menacer notre liberté, la démocratie et l'égalité.
Si nous ne voulons pas succomber aux menaces et des émeutes, le temps est venu où nous devons nous lever pour notre liberté। Si nous n'exerçons pas cette liberté, elle disparaîtra।

Traduction de la pancarte portée par ce musulman :

"Nous n'avons pas besoin de vos excuses
Au diable votre liberté de parole
Au diable votre liberté d'expression
Nous soutiendrons nos valeurs avec notre sang et nos corps !"


dimanche 24 février 2008

Finkielkraut: «L'enfant gâté a succédé à l'homme cultivé»

liberation.fr
Alain Finkielkraut juge que des menaces pèsent sur la civilisation et s'inquiète de l'appauvrissement de la langue, donc de l'être.

[...] Vous êtes un intellectuel. Comment vous définiriez-vous ?

Je ne sais pas qui je suis. Je sais que j’ai été un élève consciencieux et moins doué que voué, par l’angoisse, à faire de bonnes études. J’ai été admis en 1969 à l’Ecole normale supérieure de Saint-Cloud, j’ai passé trois ans plus tard une agrégation de lettres modernes, j’ai enseigné le français pendant deux ans dans un lycée technique à Beauvais, puis aux Etats-Unis, à l’université de Berkeley. J’ai écrit mes premiers livres avec Pascal Bruckner, puis j’ai essayé d’unir, dans mon écriture et mon enseignement à l’Ecole polytechnique, la passion littéraire et, plus tardive, mais non moins intense, la passion philosophique. Il est dit de moi, depuis la Défaite de la pensée (Gallimard, 1987), que j’ai trahi la gauche et que je suis une «pleureuse réactionnaire». La Querelle de l’école (éditions Stock), qui vient de paraître, n’a pas arrangé les choses. C’est complètement idiot. Mais je ne cherche plus à me justifier ni à montrer patte blanche à qui que ce soit. Je prends acte de cette mauvaise nouvelle : la démocratie est sortie de son lit et elle envahit des espaces où elle n’a rien à faire, notamment l’éducation et la culture. Or refuser la dissymétrie institutionnelle de l’école pour en faire une communauté éducative, c’est tuer l’école. Refuser la hiérarchie des valeurs esthétiques, la distinction entre la culture et l’inculture, ou même entre la beauté et la trivialité, c’est tuer la culture. Ce meurtre est-il de gauche ?

Le mythe de la civilisation arabo-musulmane



http://enpleindanslmille.blogspot.com

L’ISLAM ET LA PSYCHOLGIE DU MUSULMAN

http://islam.romandie.com document gratuit au format pdf de 41 pages

De André SERVIER (Publié par Augustin CHALLAMEL Editeur, 17 Rue Jacob, PARIS 1923)

A louis BERTRAND,
Permettez-moi d’inscrire votre nom, en tête de ce livre, en témoignage de mon
admiration et de ma gratitude.
Mon travail n’est que l’adaptation à l’Islam de l’idée par laquelle vous avez rénové
l’histoire de la civilisation Nord-Africaine. Ce ne sont pas seulement les Berbères qui se
sont abreuvés à la source latine, ce sont aussi tous les peuples d’Asie et d’Orient
auxquels les Arabes ont imposé l’Islam.
Ces néo-musulmans, nourris de culture gréco-latine, ont conservés, durant des siècles,
malgré les Arabes et malgré l’Islam, les enseignements de Rome et d’Athènes. Leurs
efforts ont été attribués à tort aux Arabes, mais en réalité, il n’y a pas de civilisation
arabe ; il y a seulement une civilisation gréco-latine qui s’est perpétuée à travers les
âges, sous la façade arabe et malgré les persécutions de l’Islam.
Cette vérité, si longtemps méconnue, vous l’avez découverte et proclamée au cours de
vos pénétrantes études sur la Berbérie ; je ne suis donc qu’un de vos modestes disciples
et mon seul mérite est d’avoir réuni, en vingt-cinq années de recherches, les preuves qui
établissent la morne stérilité de l’Islam et l’éternelle vigueur de la pensée gréco-latine.
Mais ma faible voix risquait fort d’être impuissante à ruiner des préjugés séculaires
qu’une science superficielle ou de parti-pris a consacrés.
Vous avez bien voulu appuyer mes efforts en faveur de la vérité et me permettre ainsi de
saper la grande erreur que vous avez déjà combattue avec tant d’autorité.
Je vous exprime ma vive reconnaissance.
André SERVIER.

Le mythe de l'âge d'or scientifique de l'Islam

http://webresistant.over-blog.com

L'Occident ne serait pas sorti des ténèbres du Moyen Age sans Averroès et 'Ibn Khaldoun: l'intellectuel palestinien Saqr 'Abou Fakhr remet en question cette idée si répandue des deux côtés de la Méditerranée.

[...] Le fait de continuellement reprendre cette affirmation d'un âge arabe des Lumières l'a incrustée dans l'esprit des Arabes, comme cela arrive pour certaines superstitions et certaines légendes. Le temps est donc venu d'en faire la critique. Disons tout d'abord que les Arabes ont apporté une importante contribution à la civilisation humaine, comme l'ont fait les Chinois, les Indiens et les Perses. Mais les Arabes ont-ils joué un rôle déclencheur dans l'apparition de la civilisation occidentale contemporaine ? La civilisation arabe a pris fin il y a près de huit cents ans, et aujourd'hui ce sont les Arabes eux-mêmes qui risquent de disparaître. Et pourtant, ils continuent de se vanter en déclarant que ;

"sans les Arabes, l'Europe aurait certainement stagné dans l'obscurantisme du Moyen Age".

[...] Tout au contraire, la pensée occidentale a opéré une révolution radicale contre l'Eglise et les ecclésiastiques, et a mis à bas tout ce qui faisait obstacle à la renaissance des sciences et des arts.

[...] l'Occident s'est servi de l'aristotélisme grec d'Averroès et s'est saisi de son idée - exposée dans son Commentaire d'Aristote - d'harmoniser philosophie et chari'a musulmane, c'est-à-dire raison et révélation.

[...]
En fait, Averroès, Ibn Khaldun et Avicenne se trouvaient en quelque sorte en dehors du courant dominant d'une culture arabe qui les a d'ailleurs refusés et rejetés. Une culture qui, déjà à l'époque, sombrait, tout comme aujourd'hui, sous le poids des fatwas des oulémas, des théologiens et récitants du Coran, du même acabit qu'Al Ghazali, Ibn Taymiya, Al Chafei et Al Achaari. Pouvons-nous penser sérieusement que la civilisation occidentale ait emprunté quoi que ce soit à ces théologiens ? Certainement pas.

[...] L'Europe diffère des Arabes en ce qu'elle a réussi, petit à petit, à exclure l'Eglise de toute mainmise sur les idées et à accorder la prééminence à la raison.

jeudi 21 février 2008

Nationalisme gaulois et perspectives révolutionnaires

http://voxfnredekker.canalblog.com
Article de André Waroch publié le 6 janvier 2008

Un nouveau leitmotiv revient avec insistance dans les milieux de la Droite subversive : « Les immigrés ne repartiront pas, nous ne les rejetterons pas à la mer ».

Si on veut dire par là qu’il n’y a aucune chance pour que la France des Droits de l’Homme et de la démocratie participative procède, un jour, à l’expulsion légale de huit ou dix millions d’hommes, de femmes et d’enfants dont la plus grande partie est juridiquement française, c’est l’évidence absolue.

Mais sinon, c’est une absurdité. Peut-être devrait-on rappeler que la population algérienne renfermait en son sein, en 1962, environ un million de Français, c’est-à-dire 10 % de la population totale de l’Algérie, et qu’il a suffit de quelques mois pour l’expulser à peu près totalement, mettant fin à 132 ans de présence française dans ce pays

Mais revenons à la conception précédente : la République française, sous sa forme actuelle, serait politiquement, idéologiquement, moralement, juridiquement incapable de mettre fin à la colonisation de peuplement islamique en cours sur son territoire. Fort bien : si on accepte l’affirmation « les immigrés ne repartiront pas » dans ce sens-là, nous avons affaire à du vrai réalisme politique, qui se traduit en premier lieu par un constat d’évidence.

Le problème, évidemment, c’est la conclusion que nos nouveaux génies tirent de ce constat : « les immigrés ne repartiront pas, nous ne les rejetterons pas à la mer, donc, qu’on le veuille ou non, il faut s’accommoder de leur présence et essayer de faire en sorte que les choses se passent le mieux possible ».

Il est probable que si les mêmes s’étaient retrouvés dans le Titanic après qu’il ait heurté l’iceberg, ils auraient dit : « l’eau qui est en train de s’engouffrer ne repartira pas, nous ne la rejetterons pas à la mer, il faut s’accommoder de sa présence et essayer de faire en sorte que les choses se passent le mieux possible ».

Pourtant, cela avait bien commencé : d’abord un constat réaliste pour bien montrer qu’on est pas des exaltés, qu’on est des gens raisonnables et intelligents, qu’il y a ce qui est souhaitable et ce qui est faisable, etc. Et puis juste après, la stupéfiante, la confondante, la colossale connerie : on va essayer de faire que tout se passe bien dans la future France des 40 % de musulmans.

Oui, selon un sondage publié par le journal Le Monde, la France comptera 40 % de musulmans à l’horizon des années 2040.

Pour le dire plus clairement, la France sera devenue une Seine-Saint-Denis géante, en pire. L’économie du 93 repose sur deux sources principales de revenus : le trafic de drogue et les prestations sociales, c’est-à-dire l’argent du contribuable français versé généreusement à des populations totalement incapables de créer par elles-mêmes de la richesse. La police ne sert plus qu’à des opérations ponctuelles, quand par exemple un quartier entier est en état d’insurrection et que les voitures des minorités gauloises crament par dizaines. Pour le quotidien, l’État a depuis longtemps abandonné le maintien de l’ordre aux islamistes et aux trafiquants.

Pendant très longtemps, l’État français n’a pas osé faire vraiment ce qu’il faut pour rétablir l’ordre dans les banlieues, ce qu’on a appelé « le syndrome Malik Oussekine ». Les gouvernement de droite comme le ministère de l’intérieur de Chevènement sont restés tétanisés par la peur de la rétorsion médiatique. N’oublions pas qu’un vote à main levée au sein de la rédaction du Monde, avant les présidentielles de 2002, avait donné Olivier Besancenot vainqueur dès le premier tour avec 80 % des voix.

Nous ne voulons pas dire, d’ailleurs, que cette « peur de la bavure » a baissé, bien au contraire. Mais s’y est ajouté une autre raison, bien plus inquiétante. C’est la crainte, en touchant à un seul des cheveux d’un de ces délinquants, de déclencher la guerre civile. Le symptôme le plus frappant de cette soumission de l’État à l’envahisseur, ce sont les propos du ministre de l’intérieur Sarkozy puis du président du même nom, respectivement à propos des émeutes de 2005, puis de l’insurrection de Villiers-le-Bel en 2007 ou, rappelons-le, plus de soixante policiers ont été blessés par balles.

Lors des émeutes de 2005, Sarkozy s’est félicité que des policiers sur qui on avait ouvert le feu aient battu en retraite plutôt que de riposter, ce qui aurait, selon lui, aggravé les choses. On est en droit de s’interroger sur la pertinence de cette stratégie, et sur la clairvoyance de ceux qui ont accordé leur suffrage à Sarkozy pour rétablir l’ordre, puisqu’il a tenu exactement les mêmes propos au sujet des événements de Villiers-le-Bel. Comment peut-on rétablir l’ordre si les plus hautes autorités donnent comme priorité absolue à la police de ne pas faire la moindre égratignure aux émeutiers ?

Comment pourrait-on faire confiance, pour nous protéger, à des flics qui ont comme consigne de ne même pas se défendre eux-mêmes ?

Aux États-Unis, si un délinquant tire sur un policier, le policier riposte, sans aucun état d’âme. La mort du délinquant ne déclenche pas d’émeutes, en tout cas pas depuis que celles de Los Angeles, en 1992, ont été réprimées au prix d’un certain nombre de morts chez les dits émeutiers.

Les autorités françaises ne veulent surtout pas qu’un policier, même en état de légitime défense, tue une « racaille » puisque, étant moralement incapables, pour les raisons déjà évoquées, d’employer les moyens adéquats pour mater la rébellion, leur seule stratégie consiste à attendre que les insurgés se lassent et de ne surtout rien faire qui puisse de nouveau attiser leur colère, telle une femme battue avec son mari violent. Il s’agit en fait d’un véritable abandon de souveraineté sur des portions de plus en plus grandes du territoire de l’Hexagone.

La question doit être posée : que se passerait-il si une force politique vraiment résolue à rétablir le droit français dans ces zones de peuplement islamique arrivait au pouvoir ?

Il est en fait fini le temps où un peu de fermeté à l’américaine aurait suffi à remettre les choses en place.

Ce ne sont pas de lointains descendants d’esclaves, convertis au christianisme, en grande partie européanisés, auxquels nous avons affaire. Que peuvent proposer, aux États-Unis les Noirs américains comme alternative politique ? Les mouvements soixante-huitards comme les Blacks Panthers apparaissent aujourd’hui comme à peu près aussi sérieux que le « Parti indépendantiste auvergnat ». Les problèmes que posaient les Noirs américains étaient du domaine de la délinquance, et aussi, il faut le dire, de la violence raciste gratuite, mais sans aucune organisation ni idéologie suffisamment ancrée dans la population pour être un jour autre chose que cela.

Les émeutiers de la France actuelle sont, eux, en même temps l’étui et la gâchette d’une véritable arme de guerre politique et idéologique, l’islam. Historiens, islamologues et théologiens se disputent sans cesse à son sujet. Est-ce une religion, une loi, un mode de vie ? C’est tout cela à la fois, mais aussi tellement d’autres choses.

On ne comprendra jamais rien à l’islam si on ne commence pas par dire qu’il s’agit en fait du totalitarisme le plus parfait, le plus implacable qui ait jamais existé de toute l’histoire de l’humanité.

Bien des peuples, dans l’histoire, sont devenu musulmans alors qu’ils étaient auparavant, et souvent farouchement, chrétiens, hindous, bouddhistes. Aucun n’a pu repasser la barrière de l’apostasie. Sur le plan individuel, évidemment, il arrive qu’un musulman se convertisse à une autre religion, quasiment toujours d’ailleurs le christianisme. Il a intérêt ensuite à courir très vite. Il sera obligé en général de couper tous les ponts avec sa famille.

L’islam punit l’apostasie (uniquement si elle a lieu dans ce sens, évidemment) par la mort. Bien des musulmans en France ne le savent d’ailleurs pas, mais l’imprégnation inconsciente est très forte sur les esprits. Il est d’ailleurs un peu fastidieux de tout expliquer par les préceptes coraniques et les hadith, comme si les musulmans les connaissaient tous par cœur et les appliquaient en toute connaissance de cause. On juge un arbre à ses fruits, disait le Christ. Il est aussi prévu, dans le judaïsme, de lapider la femme adultère. Quand la théorie est là mais qu’elle est, dans les faits, abandonnée depuis des siècles et des siècles, elle ne peut plus poser problème à qui que ce soit.

Dans le même ordre d’idées, nous pouvons considérer que la fameuse directive coranique « aucune contrainte en religion » est nulle et non avenue, ayant été systématiquement contredite par tous les États musulmans. La règle absolue en islam est le ravalement au rang de sous-homme de tous les non-musulmans. La plupart des conversions s’expliquent de cette façon.

Les peuples musulmans, ou qu’ils soient, ne se se convertirons ni au christianisme, ni au bouddhisme, ni à aucune autre religion ou idéologie désobéissant aux préceptes islamiques. Si un parti politique vraiment décidé à agir, autant que le lui permet le légalisme républicain et plus largement les préceptes de la démocratie libérale à l’américaine (cadre mental qui constitue depuis 1945 l’essentiel de notre horizon politique), arrive, disions-nous, aux commandes, cela ne changera pas grand-chose. Il pourra, en durcissant la législation, faire baisser les violences. Mais il ne pourra rien contre la sécession de territoires entiers devenus majoritairement islamiques. Et d’ailleurs, comment croire qu’en constituant 40 % de la population, les musulmans ne disposeront pas d’une partie essentielle du pouvoir politique, voire de la totalité de celui-ci dans des villes devenues religieusement homogènes où la charia sera, dans les faits, appliquée scrupuleusement par les autorités locales ? La population ne laisse déjà pas sortir les filles sans leur voile...

Le problème est donc, en apparence, insoluble, et c’est pourquoi un certain nombre de gens, y compris dans le camp nationaliste, commencent à prêcher un « réalisme » qui n’est en fait qu’un renoncement total au combat pour la souveraineté, l’identité et la survie, physique comme spirituelle, des peuples européens sur leur propre sol. Révolutionnaires en peau de lapin qui considèrent qu’à partir du moment ou un individu réussit à se faire naturaliser, lui et ses descendants seront à jamais « chez eux chez nous », que l’islam, devenue religion majoritaire, de la France d’abord, de l’Europe ensuite, est une fatalité contre laquelle il ne sert à rien de lutter, et qu’il faut entamer dès maintenant une politique de collaboration. Si les croisés savaient que leur descendants sont devenues des femmes soumises, dont le plus grand acte de résistance consiste à essayer de trouver leur place dans le harem du nouveau Sultan...

En réalité, ces gens qui se disent rebelles à l’ordre établi, à partir du moment ou ils sont incapables de transgresser le cadre mental du légalisme républicain, à commencer par le caractère quasiment sacré de la naturalisation, c’est-à-dire l’acquisition d’un bout de plastique qui vous dit que vous êtes juridiquement français, ces gens, disions-nous, sont en fait totalement dans la dépendance du système qu’ils prétendent combattre.

Nous considérons, quant à nous, que la présence de l’islam, et donc des musulmans, sur le sol de l’Europe est, au sens strict du mot, intolérable. Que les dirigeants qui non seulement les ont fait entrer, mais leur ont octroyé la citoyenneté française (ou belge, ou allemande...) ont commis, à l’égard de leur peuple, un crime de haute trahison. Et que ceux qui tiennent la présence musulmane non comme un problème, mais comme un fait contre lequel il ne sert à rien de lutter, sont les continuateurs fidèles des collabos des années quarante, qui considéraient eux aussi la colonisation allemande comme une force irrésistible que rien ne pourrait déboulonner, et que le mieux à faire était de commencer à apprendre Gœthe et Schiller dans le texte.

La fatalité qui conduit beaucoup de nationalistes à abdiquer sur l’immigration et l’islamisation, et qui les conduit à s’aligner, peu ou prou, sur les positions des médias du Système, est une erreur gravissime, parce qu’elle considère le cadre juridique, politique et mental dans lequel nous évoluons depuis 1945 comme immuable. Ce n’est en aucun cas notre position.

Les nationalistes du F.N. ont cru qu’ils pourraient arriver au pouvoir par des voies légales. Cette possibilité, qu’elle ait été vraie ou pas à un moment donné, semble aujourd’hui appartenir à une époque révolue, pour des raisons qu’il serait ici fastidieux d’évoquer.

Mais, répétons-le, l’impasse n’existe que pour ceux qui refusent de grimper au-dessus du mur pour scruter l’horizon.

Lénine n’a jamais dit aux bolcheviques d’arracher le pouvoir des mains du tsar. Il savait pertinemment que c’était impossible. Que s’est-il finalement passé ? Le pouvoir en Russie s’est effondré sur lui-même, victime de ses errements, du désastre de la guerre contre l’Allemagne, de l’incompétence de ses dirigeants, du discrédit de la famille impériale « envoûtée » par Raspoutine. Non, les bolcheviques n’ont jamais pris le pouvoir en Russie. Ils n’ont jamais tenté de cueillir le fruit encore vert. Ils se sont contenté d’attendre qu’il pourrisse tout seul et tombe de l’arbre. Ils savaient aussi qu’à ce moment-là, ils ne seraient pas les seuls à vouloir le ramasser. C’était cela, le moment décisif, cette période d’anarchie totale ou un souffle de vent pouvait faire basculer l’histoire.

L’exécution du tsar et de la famille impériale signifia le basculement de la Russie dans un autre univers, où les anciennes règles n’avaient plus cours. Le meurtre du tsar, comme celui de Louis XVI et de Marie-Antoinette, était fait pour adresser au monde le message suivant : il n’y a plus de retour en arrière possible.

Ces assassinats étaient, pour les révolutionnaires russes comme français, une étape obligée. Souvenons-nous de cet axiome : la légitimité prime la légalité. Ni les bolcheviques ni les jacobins ne détenaient la moindre légitimité. Jamais les masses ne les suivirent dans leur entreprise de destruction de la dynastie de droit divin dont elles étaient, depuis des siècles, les sujets. Sans la terreur, sans les meurtres de masse exercés sur leur propre peuple, les révolutionnaires ne pouvaient espérer tenir bien longtemps, parce qu’aux yeux de ce peuple, ils n’étaient rien. On ne leur devait aucun autre respect, aucune autre déférence que celle inspirée par la peur.

Ils ne purent commettre régicides et tsaricides que parce que les hommes qui occupaient cette fonction l’avaient déjà, aux yeux de la population, largement trahie.

De quelle légitimité pourraient bien se doter les nationalistes, qui pourrait leur éviter, s’il leur arrivait de prendre le pouvoir à l’occasion de la guerre civile ethnico-religieuse dont nous pensons l’éclatement inéluctable, d’avoir à passer leur propre peuple par les armes, comme ont été obligés de le faire les bolcheviks, ce qui d’ailleurs, contrairement à nous, ne contredisait en rien leur idéologie ?

Pour nous, il ne fait guère de doute que la légitimité doit être d’abord ethnique.

Le mot « Gaulois » n’est pas seulement un nom utilisé dans les banlieues pour désigner les ancêtres de Vercingétorix, c’est aussi ce qui se cache, historiquement, derrière le pseudonyme de « Français ». Est-il, dans cet optique, plus important de se réclamer de Jeanne d’Arc que de Charles Martel ? Tous ces personnages symbolisent la résistance du peuple gaulois à l’envahisseur.

Cette conscience d’appartenir au peuple gaulois, même si on l’appelle encore « français » en lui donnant un sous-entendu ethnique évident alors que les médias du Système y voient juste la possession de papiers d’identité, est une des choses les plus profondément ancrées dans la conscience de notre peuple.

C’est une légitimité qui s’impose d’évidence, nous pourrions même dire, maintenant que la tradition monarchique a été rompue, qu’il n’y a plus que ça, tout en se posant la question de savoir s’il y a eu un jour autre chose. La monarchie, au fond, n’était peut-être qu’un système de gouvernement comme un autre. L’essentiel est de continuer l’histoire, d’écrire un nouveau chapitre d’une odyssée prodigieuse, celle des Gaulois. De Vercingétorix à de Gaulle, c’est le même cœur qui bat, parce que c’est le même peuple qui se bat.

Nous vivons certainement le moment le plus critique de notre histoire. Ni la conquête romaine, ni les invasions barbares, ni les deux guerres mondiales n’ont menacé l’existence physique du peuple gaulois (ou français, bien que cette appellation, du fait de sa dualité ethnico-juridique, pose problème) sur son propre sol. Nous sommes minoritaires, comme l’étaient tant d’autres révolutionnaires qui, finalement, l’ont emporté. Les principes de défense du peuple gaulois dont nous nous réclamons seront le point de ralliement obligé, dans quelques années, de ceux qui ne voudront pas choisir entre la mort, l’exil ou l’assimilation par l’envahisseur.

Quand les émeutes de 2005 se répéterons tous les jours, que les kalachnikov auront remplacé les cailloux et les fusils de chasse, que Paris, c’est-à-dire le centre du pouvoir, sera totalement encerclé par des banlieues complètement islamisées, et que les voitures et les bus commenceront de flamber en série dans la capitale, que se passera-t-il à ce moment-là ? Personne ne peut encore le prévoir. Mais, à tous ceux qui n’ont pas envie de léguer à leurs enfants une France dont le drapeau tricolore s’ornera d’un croissant, nous nous contenterons de rappeler ce mot d’Hannah Arendt : « la plus grande prophétie est une promesse que l’on tient ».

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mercredi 20 février 2008

La mairie PCF de Grigny offre 2700 m2 de terrain pour la future mosquée

21.10.2007 http://www.islamisation.fr
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Le maire Claude Vazquez et Abdelhak Eddouk, le président de l'association de l'Union des musulmans de Grigny (UMG) ont signé jeudi soir une promesse de bail sur le terrain de la future mosquée, qui devrait ainsi devenir la 7 e du département. Le conseil municipal essentiellement communiste a délibéré à la majorité pour offrir à l’Islam un terrain municipal.

L'horreur islamique, si loin, si proche...

http://grouik-grouik.org
[...] Comme nous l'avions fait remarquer dans notre précédent article, l'ultra-dhimmi maire de Créteil, Laurent Cathala, fait construire une mosquée géante. Voici ce qu'il a déclaré au Washington Post en décembre dernier, remarques assorties de quelques commentaires du site islamiste Saphir News : "Nous avons voulu que la mosquée soit construite là où tout le monde pourrait la voir". "Nous n'avons pas voulu la cacher", a ajouté le maire socialiste, qui peut suivre la construction de la future mosquée depuis son bureau situé au 11ème étage. La construction, qui devrait être terminée d'ici 2008, comprendra un minaret atteignant 25 mètres et un dôme, et pourra accueillir plus de 2500 fidèles. Avec un coût s'élevant à 7,4 millions d'euros, la mosquée est située sur une butte dominant le lac et la ville de Créteil, tout proche de la mairie et du poste de police."

Dans le même article, nous avions dit que l'imam Ilyes Hacène prévu pour la mosquée est accusé par les Renseignements Généraux d'envoyer des musulmans en Syrie. Evidemment ils n'y restent pas en règle générale, le but étant in fine l'Irak (et pour les survivants de l'Irak, un retour en France à l'image de celui des "afghans" en Algérie dans les années 90 avec les résultats que l'on connait).
La vidéo donne un aperçu des exploits actuels des étudiants en religion du genre de ceux sponsorisés, indirectement mais les yeux fermés, par la mairie de Créteil...

Le Kosovo est serbe, comme le Massachussets est américain. Par Maurice G. Dantec

ajm.ch/wordpress
Il arrive très souvent aux nations de commettre des erreurs fatales. Il arrive plus souvent encore aux empires de les commettre au nom de la justice. Tout le monde connaît depuis longtemps mes positions pro-américaines et pourtant hostiles à la religion démocratique, pro-israéliennes et pourtant catholiques, pro-occidentales et pourtant pro-russes, pro-européennes et pourtant anti-bruxelloises. Des positions qui m’ont valu tout le dictionnaire des noms d’oiseaux disponibles dans les magasins de la République, et quelques insultes de cour de récréation de la part du nouveau parolier de la Front-National Académie, surtout depuis que mon dégoût pour le Zéropa-Land bruxellois se double de la volonté affirmée mille fois de voir renaître un Saint Empire Romain susceptible d’unifier pour de bon le continent des indo-européens.

dimanche 17 février 2008

Danemark: une semaine d'émeutes par des jeunes révoltés contre la police

Emeutes le 15 février 2008 à Copenhague (Photo Nils Meilvang/AFP)

COPENHAGUE (AFP) — Samedi 16 février 2008, 09h55
Des centaines de jeunes ont pris part, sans raisons apparentes, à des émeutes cette semaine au Danemark, expression, selon les autorités et des militants de gauche, de leur révolte contre la police et contre le racisme dont certains se disent victimes.

[...] "Nous ne savons pas exactement ce qu'il y a derrière ça", a déclaré à l'AFP Flemming Steen Munch, porte-parole de la police de Copenhague. Les émeutes ont éclaté dimanche dans les quartiers de Noerrebro et Vesterbro à Copenhague, à forte concentration d'immigrés mais elles ont gagné plusieurs localités dont Aarhus, la deuxième plus importante du Danemark.

Selon les médias danois, certains émeutiers étaient très jeunes: 10 à 12 ans.

[...] "Ils n'aiment pas que nous soyons présents dans le quartier de Noerrebro et que nous recherchions des armes, ils n'apprécient guère que nous essayons d'enrayer le trafic de cannabis. Quelques uns ont invoqué le problème des caricatures de Mahomet", dit-il.
Le porte-parole faisait référence à la reparution d'une caricature controversée mercredi dans 17 journaux danois, qui a suscité une nouvelle vague de colère dans le monde musulman.

afp.google.com

L'avertissement du petit frère

ericzemmour.fr

[...] Pour ceux qui ne savent pas de quoi il s'agit, précisons que le livre est basé sur un dramatique fait divers: en novembre 2003, le disc-jockey Sébastien Sélam, (devenu Simon Sitruk chez Zemmour) est assassiné par Abdel Anastaibou, son voisin de toujours. A partir de là, Zemmour brode un roman autour de l'immeuble du 19ème arrondissement de Paris dans lequel grandirent les deux familles, celle de l'assassin et celle de la victime. Un écrivain juif, compagnon de route de la gauche antiraciste des années 80, se penche sur l'affaire et découvre au fur et à mesure que son enquête avance, à quel point l'intégration de ceux qu'on appelle sur les plateaux télés "les jeunes issus de l'immigration maghrébine", est un retentissant échec. Mieux ou plutôt pire, il s'aperçoit horrifié que les principaux responsables de cet échec, ce sont lui et ses anciens "potes" de 'SOS racisme'!

Editorial d'Elie Kling pour le site Arouts7.com (L'info en Provenance d'Israël) à propos de Petit Frère.

jeudi 14 février 2008

Pourquoi l’Occident est supérieur – Ibn Warraq répond à Tariq Ramadan

pointdebasculecanada.ca

samedi 9 février 2008, par Annie Lessard, Marc Lebuis

Ibq Warraq publie un condensé des arguments présentés dans un débat où il prenait la défense – à l’encontre de Tariq Ramadan – des valeurs de l’Occident : démocratie, liberté, tolérance. Il démontre l’éclatante supériorité de ces valeurs sur celles des sociétés islamiques. Les musulmans sont mal placés pour nous servir des homélies moralisatrices.
En octobre dernier, j’ai participé à un débat organisé à Londres par Intelligence Squared, pour examiner la motion, « Nous ne devrions pas hésiter à affirmer la supériorité des valeurs occidentales ». L’intellectuel musulman Tariq Ramadan, entre autres, prenait la parole contre la motion. J’ai parlé en faveur de la motion, en mettant l’accent sur les vastes disparités entre les sociétés islamiques et occidentales dans les libertés, les droits humains et la tolérance. Je présente ici les arguments que j’ai avancés, de manière quelque peu condensée.

Les grandes idées de l’Occident - le rationalisme, l’auto-critique, la recherche désintéressée de la vérité, la séparation de l’Église et l’État, la primauté du droit et l’égalité devant la loi, la liberté de pensée et d’expression, les droits humains et la démocratie libérale – sont supérieures à toutes les autres idées conçues par l’humanité. C’est l’Occident qui a pris des mesures pour abolir l’esclavage, les appels à l’abolition ne résonnaient pas encore en Afrique où les tribus rivales vendaient des prisonniers noirs à l’esclavage. L’Occident a obtenu des libertés pour les femmes et les minorités raciales et autres dans une mesure inimaginable il y a 60 ans. L’Occident reconnaît et défend les droits de l’individu : nous sommes libres de penser ce que nous voulons, de lire ce que nous voulons, de pratiquer notre religion, de vivre la vie de notre choix.

jeudi 7 février 2008

Pourquoi SOS Racisme, le Mrap et la Licra ne combattent pas le racisme anti-blanc ?

Questions réponses Yahoo
[...] Les associations sont tous d'obédience communiste et dans un soucis "d'humanité" qui est propre aux communistes avec leur 85 millions de morts, ils ont pris le controle de ces associations dont le but est de se racheté une conduite.
Mais malheureusement les communistes ont ouvert une boite de pandor avec le communautarisme.
Ainsi SOS s'occupe des personnes de races noires et arabes.
Le MRAP dirigé par l'islamo communiste Mouloud Aounit
défend les musulmans.
Le MRAP veut dire Mouvement de Raliement et d'Alégence au Prophète ou Le Mouvement de Respect d'Allah et du Prophète.
La Licra s'occupe des juifs et de l'antisémitisme.

Il n'éxiste pas d'association de défense contre les blancs ou les chrétiens car comme il est dit plus haut ,ce sont les communistes qui tiennent les rênes des associations.
Et dans la tête d'un coco ,un blanc est toujours raciste,fachiste,nazi,etc etc.
Ces associations sont actuellement une officine du communisme et agissent comme une police politique avec leur commissaires du peuple...