
lefigaro.fr
Par Paul-François Paoli
15/07/2008
Le seul tort de Sylvain Gouguenheim aura été de s'aventurer sur un terrain sensible, celui de l'importance de l'Islam dans l'histoire de l'Europe।


compilation mahométane de vidéos de documents de points de vue et d'articles choisis.
mardi 26 février 2008, par Jugurten
À partir d’une analyse du mémoire du Centre culturel islamique de Québec, Jugurten traduit pour nous la « langue islamique ». Il a vécu en Algérie la montée de l’islamisme, et sait reconnaître ces forces obscures qui sont à l’œuvre ici même, au Québec. Que tous les bien-pensants se réveillent ! Vous êtes manipulés ! Joignez le camp des « islamolucides » !Vous pouvez consulter le mémoire du Centre culturel islamique de Québec (CCIQ) sur notre site en cliquant ici. Notez que le CCIQ est membre de la Ligue islamique mondiale, qui vise à disséminer l’islam wahhabite saoudien partout dans le monde, notamment au Canada.
[...] L’uniforme des islamistesÀ propos, dans les pays arabes, le djelbab est à l’islamisme ce qu’est l’uniforme d’officier pour une armée régulière. Seules les femmes ayant accompli un parcours militantiste ardu et complexe arrivent au stade de porter le djelbab. Ne vous attendez pas à voir une paysanne musulmane porter le djelbab. Il est réservé aux femmes jeunes, belles, instruites par le coran, militantes et totalement engagées pour la cause islamiste. La plupart sont riches et de familles honorables. La seule exception concerne les épouses de chefs islamistes chevronnés.
L’islam(isme) est une doctrine dont le seul agenda est d’embrigader du monde, le maximum de monde. Ce beau monde, il faut bien le compter et le distinguer, ne serait-ce que pour savoir combien il reste encore de monde à embarquer dans cette immense Arche qui prétend sauver l’humanité des flammes de l’enfer. L’Arche qui sauve du Déluge étant un concept déjà pris par un autre mythe, il fallait bien trouver autre chose !
Je disais donc que dans toute doctrine qui embrigade, il faut revêtir l’embrigadé(e) d’un uniforme distinctif. L’islamisme voile la femme dès le jeune âge. Pour les hommes, il est recommandé un qamis (jamais de cravate !) et un pantalon ne descendant pas plus bas que le bas du mollet. Le tout agrémenté d’une barbe caractéristique. Notons que l’uniforme préconisé pour les hommes ne commence à faire son apparition que lorsque toutes les femmes (ou presque) sont voilées.
Le contingent des militantes voilées
Les militantes et les femmes vivant sous la domination physique ou idéologique des hommes sont les premières à se voiler. Ces femmes dominées, une fois voilées, acquièrent une liberté relative inespérée et finissent par oublier par quel procédé elles ont été amenées à porter le voile. Elles deviennent alors militantes à leur tour et apprennent le langage des musulmanes qui avaient été embrigadées très jeunes.
Ce premier contingent s’occupe alors de « travailler » la gente féminine musulmane non encore voilée. Tout un réseau social, communautariste, de voisinage, de bouche à oreille, de prêches, d’échange de cassettes vidéo, audio, de CD et DVD, de livres, d’anecdotes racontées au détour d’un arrêt de bus, d’une allée de supermarché, ou d’un coup de téléphone, tout cela se met en branle et s’affaire à grossir les rangs des voilées.
C’est une activité sociale à plein temps prise entièrement en charge par la communauté, sans violence, sans réelle pression, sans remous. Chacun, à son niveau, sans même s’en rendre compte milite et se dévoue dans l’effervescence de cette fourmilière silencieuse. Chaque individu s’affaire à son niveau au service d’un immense organisme dont aucun individu n’a réellement conscience.
C’est comme les cellules d’un organisme biologique qui réalise des fonctions locales sans avoir une vue d’ensemble du système entier, ni même savoir qu’il y a un chef d’orchestre appelé cerveau, qui lui-même fait partie de l’immense organisme vivant. Un homme qui assassine sa fille qui refuse de porter le hidjab n’est qu’une cellule incompétente à produire les enzymes nécessaires à transformer une jeune fille non voilée en jeune fille enhidjabée.
C’est exactement comme cela qu’il est perçu par les cellules avoisinantes du même tissu. Les hudud (limites) sont des châtiments corporels ou carrément l’assassinat, prévus par la charia pour éliminer les individus (cellules) que son voisinage a été incompétent à mettre sur le « droit chemin ».
Quand la charia n’est pas officiellement en vigueur (communautés musulmanes en occident), l’islamiste peut exécuter le hadd (pluriel de hudud), sans se voir désapprouvé par sa communauté। Il aura seulement affaire à la loi du pays où il vit, et cela n’est rien du tout pour lui devant le sentiment d’avoir accompli un devoir.
Embrigadement des masses
Voila où mène l’endoctrinement, l’embrigadement massif, la dépersonnalisation et l’aliénation de sociétés entières. Le dispositif d’endoctrinement massif a des limites. Quand tous les moyens pacifiques sont épuisés, il reste encore en général 50% de femmes et de jeunes filles à voiler. La communauté serre alors un peu la vis. En fait, les uns serrent la vis aux autres. Il n’est pas rare qu’un homme dont l’épouse n’est pas encore voilée, évoque la nécessité qu’une femme se voile. Il le fait à différentes occasions, en rencontrant une amie de sa femme, par exemple, ou lors d’une fête entre amis. C’est tout le monde qui fait pression sur tout le monde, allant jusqu’au harcèlement moral et aux menaces contenues dans les prescriptions religieuses. Ces menaces sont évoquées sans aucune agressivité.
Elles relèvent simplement de la pression psychologique. C’est à ce stade qu’apparaissent les jugements de valeur sur les femmes non encore voilées. Ces jugements agissent comme une pression psychologique supplémentaire aussi bien sur les femmes non voilées que sur leurs époux, leurs frères, leurs enfants et leurs parents. Pour éviter « l’opprobre », beaucoup de femmes cèdent et beaucoup d’homme serrent encore plus la vis. C’est la course vers la dureté avec ses proches. Cette campagne sourde et invisible de l’extérieur de la communauté peut durer des années. Mais elle donne toujours de « bons » résultats.
À la fin de cette campagne, il reste encore 10 à 15% de femmes non voilées. Ce sont des récalcitrantes « irrécupérables », de personnalité trop forte pour se laisser embrigader par le lavage de cerveau, la manipulation psychologique, le harcèlement et les menaces. Il ne reste plus que la force violente et les maltraitances physiques en tous genres (vitriol, acide, tournantes, viol..).
Ce schéma est toujours le même partout. Je l’ai vu fonctionner de l’intérieur en « live » et j’en ai décodé et compris tous les rouages. La société musulmane le trouve tout à fait normal, voire naturel. Lorsque nous vivions dedans, moi et mes amis, nous pouvions mesurer le degré d’islamisation radicale d’un quartier (en Algérie) rien qu’en comptant le nombre de femmes voilées aux arrêts d’autobus, versus les femmes non voilées...
[...] Comme la dialectique marxiste, la théologie musulmane peut légitimer n'importe quoi, a posteriori, à partir d'un verset du Coran, ou d'un Hadith : c'est ainsi qu'on peut expliquer pourquoi le prophète avait neuf épouses, alors que la révélation obligeait à se limiter à quatre, etc…
[...] Il me faut citer trois déclarations très caractéristiques, auxquelles les dirigeants français se sont refusé à donner la moindre publicité :
-"Le Coran fait interdiction absolue à un Musulman d'accepter la souveraineté d'un non-Musulman en terre d'Islam. Il n'y a, à ce principe, aucune exception, ni à Jérusalem, ni au Caire, ni à Beyrouth, et pas même à Madrid ou peut-être demain à Paris. »
(Cheikh Samir Bou Assad, les Cahiers de l'Ouest, n° 7, 3° trimestre 1987, Paris)
Dans "Le paradoxe de Roubaix", de Philippe Azziz, Plon,1995, p.89 et 90, voici les propos de Mohamed Sabaoui : "Si les lois de la République ne sont pas conformes aux lois coraniques, elles ne devraient pas être imposées aux Musulmans. Ces derniers ne devraient être gouvernés que selon la charia, la loi de Dieu ...qui est la meilleure du monde. Ils pourront avoir un territoire ou quelques villes ou ils pourront appliquer sans entrave les préceptes du Coran…
L’UNIVERSITE CATHOLIQUE DE LILLE
Depuis quelques semaines circulent sur internet des messages diffusés par un organe de presse, messages
concernant l’immigration et l’islam dans la région et reprenant des propos attribués à Mohamed SABAOUI, qui se présente comme « jeune sociologue de l’Université Catholique de Lille, d’origine algérienne, naturalisé français ».
L’Université Catholique de Lille confirme que depuis 1996, date de la première diffusion de ces informations, cette personne n’a jamais fait partie des effectifs de l’Université, que ce soit en tant qu’étudiant, enseignant ou membre du personnel.
Elle condamne vivement les thèses développées dans ces messages et articles, et attribuées à cette personne dont l’existence n’est pas aujourd’hui prouvée.
L’Université Catholique de Lille porte plainte auprès du Procureur de la République de Lille à l’encontre du responsable de l’organe de presse, et portera plainte à l’encontre de toute personne qui contribuera à la diffusion de telles informations.
Fait à Lille, le 22 Avril 2008
Thérèse LEBRUN Président-Recteur
60 bd Vauban • BP 109 • 59016 LILLE CEDEX.
Objet de l'hypothétique désinformation : entretien publié dans le livre de Philippe Aziz " Le Paradoxe de Roubaix".
LE PARADOXE DE ROUBAIX Définitivement indisponible.
De : Philippe Aziz
Plon , NOUVELLES , 25/03/1998
la thèse de la désinformation.
Thérèse LEBRUN recteur de la faculté de Lille révèle qu'aucun étudiant en sociologie du nom de Mohamed SABAOUI n'a fréquenté son établissement. On ne peut mettre sa parole en doute.
Soit ! Il n'en reste pas moins que Philippe Aziz et son livre existent.
monde-diplomatique.fr. La donnée démographique contestée : Pascal Percq, journaliste à Nord-Eclair et correspondant du Point dans le Nord, avait contesté la thèse de Philippe Aziz : « Il y intègre pèle-mêle Maghrébins, Français d’origine maghrébine, croyants ou non. Or il n’existe a priori aucune donnée sur les convictions religieuses de chacun. Tout Roubaisien d’origine maghrébine serait-il systématiquement musulman ? Enfin, pour la plupart, ces personnes visées sont depuis longtemps de nationalité française, voire nées à Roubaix.
Cette contradiction ne tient pas ;Depuis quelques mois, Philippe Aziz est victime de sa propre thèse. Un tract signé de son nom circule. Il s’agit de la falsification d’un entretien publié dans Le Paradoxe de Roubaix. Ce tract veut affoler en affirmant que « Roubaix ville majoritairement musulmane à plus de 60 % » deviendra « une enclave musulmane indépendante ». Philippe Aziz nie toute responsabilité : « C’est une ignominie. J’ai porté plainte contre X... auprès du procureur de la République de Paris. »
l'existence de cette interview relatée dans ce livre est-elle réelle,déformée, il faudra consulter le dépôt légal pour le savoir.
Voici l'interview en question :Une fillette est hospitalisée dans une clinique privée qui ne cache pas son appartenance à l’Eglise Catholique.
Elle est accompagnée dans sa chambre juste après son passage en salle de réveil. Le père aperçoit, au mur de la chambre, un crucifix.
Eclats de voix, altercation avec le personnel, scandale dans les couloirs, au détriment des autres personnes hospitalisées, stupéfaites, comme le personnel médical, devant ce déferlement de violence sectaire.
Le crucifix est finalement enlevé du mur. Dans l'intérêt des soins dispensés à l'enfant.
La direction de cette clinique évoque un autre fait qui a eu lieu quelques mois plus tôt, à Aix en Provence, cette fois-ci. Un père a brisé un crucifix en le jetant au sol puis l'a jeté à la poubelle.
L’histoire ne dit pas si ce père a manifesté contre les caricatures, s’il a déchiré Charlie Hebdo ou s’il a approuvé la fatwa contre Robert Redeker.
L’histoire ne dit pas non plus si les catholiques d’Aix en Provence ont manifesté dans la rue en brûlant le Coran, si le Saint siège a publié un communiqué vengeur appelant au meurtre de tous les Musulmans.
L’histoire ne le dit pas parce que cela ne s’est pas passé. Parce qu’il ne viendrait à l’idée de personne, en pays civilisé, quelque peu empreint de laïcité et de concorde, de réclamer la tête du crétin lobotomisé qui s’est permis un tel outrage.
Les incidents se multiplient en Europe, ce qui tend à démontrer, contrairement aux discours lénifiants des autorités, qu’il s’agit bel et bien d’une vague de fond. En France, les joueuses de basket refusent de dévoiler leurs jambes et leur bras et préfèrent jouer en huis clos. Les piscines sont bâchées et interdites aux hommes à certaines heures de la journée.
Parce que la polémique sur le voile a définitivement convaincu les musulmans intégristes de refuser tout pacte avec une société laïque. « Puisque vous me refusez mon voile, je refuse votre croix ».
Sauf que personne ne leur a interdit l'usage du voile dans les lieux publics mais seulement à l'école, pour les jeunes filles, jusqu'à ce qu'elles soient en âge de choisir librement leur religion.
En espérant que le mot "librement" ne soit pas un blasphème dans le cas présent.
Sauf que personne n’a forcé ce père à hospitaliser sa fille dans un établissement catholique, comme aucune autorité ne force les enfants de familles musulmanes à manger à la cantine.
A cause de l’exigence de nourriture Hallal, le prix des repas a grimpé en flèche dans certaines communes. Les mairies pour l’instant, épongent le surcoût pour favoriser la paix sociale.
Mais aussi parce qu’il semble intolérable à une société comme la nôtre de priver les enfants de famille modeste du seul repas équilibré qu’ils peuvent avoir dans la journée.
Par humanisme, il faut accepter. Mais jusqu’à quand les finances des collectivités territoriales pourront supporter cela avant que les citoyens non croyants ne demandent des comptes à leurs édiles ?
Les musulmans modérés restent étrangement silencieux.
Peu de médias ont parlé de ce procès perdu par un musulman contre un hôpital. Il avait refusé l’intervention du gynécologue obstétricien lors de l’accouchement de son fils au motif qu’un homme ne devait pas toucher sa femme.
Parce que les médecins n’ont pas pu parvenir à temps, la césarienne n’a pas pu s’effectuer et l’enfant est handicapé à 100%. Cet homme de confession musulmane a intenté un procès à l’hôpital de Bourg en Bresse en réclamant 100.000 euros d’indemnités.
Le tribunal l’a débouté de sa demande et lui a infligé 1000 euros d’amende pour mise en danger de la vie de son fils.
Ce qui devrait faire réfléchir est certes cette faculté qu’a une croyance à rejeter l’intervention des spécialistes mais il faut également noter que cet accident a eu lieu en 1998. 10 ans déjà !
Dans la clinique Saint Vincent de Paul, le crucifix sera remis en place dés le départ de la famille.
Et la petite cloche, symbole chrétien dans nos contrées, continuera à sonner, non pas pour appeler les fidèles à la messe mais, comme il est d’usage dans cette maternité, pour célébrer la naissance de chaque enfant.
Laïc ou pas, quand une cloche sonne pour une telle raison, on est bien obligé d’en aimer le son.
© Primo, 26.06.08[...] La version la plus radicale du multiculturalisme est illustrée par la politique néerlandaise de « pilarisation », présentée comme un moyen de garantir la tolérance à l’égard des religions, en accordant un système éducatif séparé, des services sociaux distincts, des médias et des syndicats différents aux catholiques, aux protestants et aux communautés sécularisées। Jusqu’au début des années 2000, les gouvernements néerlandais successifs ont fait leur la doctrine selon laquelle le meilleur moyen de favoriser l’intégration des populations issues de l’immigration était d’encourager les immigrés à « maintenir leur propre culture » . Ils ont facilité ce « maintien » des identités culturelles d’origine par tout un arsenal de politiques de redistribution visant les « minorités culturelles » reconnues [2]. Même si la question de savoir si les musulmans constituent un « pilier » séparé est restée controversée, c’est un fait que les Pays-Bas se sont montrés plus volontaristes que d’autres pays pour accorder aux musulmans des écoles distinctes [3]. Le choc provoqué par l’assassinat du leader politique Pim Fortuyn (6 mai 2002) [4], suivi par celui du cinéaste Théo Van Gogh (1er novembre 2004) [5], l’un et l’autre engagés dans un combat contre ce qu’ils pensaient être « l’islamisation » de leur pays, a fait prendre conscience aux Néerlandais des limites et surtout des effets pervers du multiculturalisme, terrain privilégié pour la propagande islamiste.
La Grande-Bretagne, les Pays-Bas et le Canada sont parmi les pays occidentaux les plus touchés par une islamisation fondamentaliste intense. Le multiculturalisme modéré existant en Grande-Bretagne a été défini en 1966, non sans un certain angélisme, par Roy Jenkins, alors secrétaire du Home Office, comme « la diversité culturelle, couplée à l’égalité des chances, dans une atmosphère de tolérance mutuelle » [6]. Après les attentats islamistes de Londres (juillet 2005), les Britanniques ont à leur tour pris conscience des dangers présentés par le multiculturalisme à l’époque du terrorisme jihadiste gobal. L’angélisme différentialiste ne devrait plus être à l’ordre du jour en Grande-Bretagne [7].
Dans une étude d’une exceptionnelle lucidité, « Atmosphère suffocante dans le Londonistan », publiée en juin 2006, le politologue Ernst Hillebrand montre non seulement que le multiculturalisme britannique a totalement échoué, mais encore qu’il a favorisé l’emprise islamiste sur les musulmans vivant en Grande-Bretagne. Le constat est saisissant :
« 40 % des musulmans vivant en Grande-Bretagne souhaitent l’application de la Chari’a dans certaines parties du pays. 32 % pensent que les musulmans devraient s’engager pour mettre fin à la civilisation occidentale, « décadente et amorale ». 20 % disent comprendre les motivations des responsables des attentats du métro de Londres le 7 juillet 2005. Dans le même temps, seuls 17 % des non-musulmans pensent que musulmans et non-musulmans peuvent vivre ensemble pacifiquement de façon durable. Et un quart de l’électorat peut s’imaginer votant un jour pour un parti d’extrême droite ; bienvenue en Grande-Bretagne, dans une société qualifiée par le British Council de « riche d’une grande diversité, ouverte, multiculturelle ». Alors que les autorités persistent à diffuser des messages glorieux, les attentats de Londres ont crûment révélé une réalité qui n’avait pu échapper, auparavant déjà, à tout observateur attentif : le vaste échec du multiculturalisme britannique, du moins en ce qui concerne l’intégration des musulmans। »Question sur un forum internet : Qui est-ce qui nous dérange ? les immigrants... ou les Musulmans ?
"Nous serons votre Cheval de Troie", Mohamed Sabaoui, sociologue, algérien naturalisé français
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