lundi 21 janvier 2008

De la lutte contre les discriminations à la délation généralisée

samedi 12 janvier 2008 http://gerardpince.blogspot.com

Suite à une dénonciation, la HALDE vient de réprimander un annonceur qui proposait la location d’un logement à des fonctionnaires. Or, au vu de la législation actuelle, seuls les citoyens français ont accès à la fonction publique. Conclusion de la HALDE: l’annonceur est coupable de discrimination indirecte ! Fort bien, mais notre haute autorité devrait tirer toutes les conséquences de sa décision. Par exemple, certaines mutuelles destinées aux fonctionnaires deviennent aussi discriminatoires. De même, il faut alors ouvrir la fonction publique à tous les étrangers. Mieux encore, la possession d’une carte d’identité française représente une discrimination à l’égard de ceux qui n’en ont point. Il convient donc soit de supprimer notre nationalité soit de l’étendre à tous les résidents (1).


La position de la HALDE se fonde sur la loi du 25 février 2003 qui dispose «qu’il y’a discrimination si une différence de traitement qui manque de justification objective et raisonnable est directement fondée sur le sexe, une prétendue race, la couleur, l'ascendance, l'origine nationale ou ethnique, l'orientation sexuelle, l'état civil, la naissance, la fortune, l'âge, la conviction religieuse ou philosophique, l'état de santé actuel ou futur, un handicap ou une caractéristique physique". Sachant que toute la vie sociale, l’amour, l’amitié, la simple sympathie impliquent de facto des discriminations, une telle loi ne pouvait déboucher que sur des situations loufoques. En outre la notion floue de « justification objective et raisonnable », relève de la libre interprétation de la Haute autorité, conduit à tous les arbitraires et représente un casse tête permanent pour les administrations, les entreprises, et tous les particuliers, tels que les bailleurs de logements. En fait, cette loi absurde a été votée à l’instigation d’associations malfaisantes qui sous prétexte de la lutte contre le racisme, se consacrent à la persécution des français de souche. En URSS le « Ministère de la Sécurité » incarnait l’insécurité absolue en expédiant les gens au goulag pour un oui ou pour un non. De même, la lutte contre les discriminations camoufle l’institutionnalisation du racisme anti blanc en France.

Par ailleurs, une véritable culture de la délation s’installe. De grands panneaux publicitaires incitent à la dénonciation et on n’avait pas connu cela depuis Vichy. L’entrée en vigueur du droit opposable au logement risque d’accentuer cette dérive. Nous avons tous vu les files de Papas et de Mamans venant exiger leur logement dans les préfectures. Comme on n’en a pas assez pour les 350.000 immigrés qui arrivent chaque année, il faudra réquisitionner les logements privés. Ici encore, le repérage des logements vacants reposera sur la délation. Va-t-on dénoncer les propriétaires des villas anglo-normandes de Deauville inoccupées neuf mois sur douze? Tant qu’à faire, pourquoi ne pas dénoncer vos voisins partis aux sports d’hiver? La réquisition de leur appartement abriterait des familles en souffrance pendant les grands froids!

En guise de politique de civilisation, ces lois scélérates pervertissent la moralité publique et vident la nation de tout contenu. Elles ne facilitent pas l’ascension sociale puisque notre « Haute Noblesse » (2) s’approprie toutes les richesses du pays. Au fil des bottins administratifs, on peut ainsi reconnaître jusqu'à trois générations d'une seule famille qui se succèdent dans les mêmes cursus débouchant sur les meilleures sinécures. Jamais dans l'histoire de France, autant de pouvoirs n'ont été concentrés entre un si petit nombre de personnes. Face à cette situation, on ne peut que rappeler la première proposition de la Révolution bleue : En tant que libre individu, je loue, j'achète et je vends à qui je veux. Je recrute qui je veux. Je pense, j'écris, je m'exprime, en privé ou en public, comme il me plait.

Gérard Pince

1-Se reporter à http://www.halde.fr/IMG/alexandrie/2340.PDF pour prendre connaissance de l’intégralité de la décision.
2-C’est le titre que les moujiks donnaient à leurs seigneurs. Comme nous sommes devenus des moujiks, c’est ainsi qu’il faut s’adresser à nos maîtres, au moins jusqu’au jour de leur jugement.

vendredi 18 janvier 2008

Démographie : les comptes fantastiques de l’INSEE.

http://gerardpince.blogspot.com

[...] Tout cela se passe de commentaires. Clairement, messieurs Pipeau et Bidon doivent superviser les prévisions de l’INSEE! En réalité, ces incohérences s’expliquent par la volonté de camoufler l’impact de l’immigration sur la fertilité et les projections de population. D’ailleurs, au vu du nombre de livres écrits par ces fonctionnaires pour défendre l’immigration, on peut se demander quel temps leur reste pour se consacrer correctement à leur métier. Enfin, certains d’entre eux occupent des fonctions au sein d’associations immigrationnistes en contradiction avec le devoir de réserve qui s’impose à tous les fonctionnaires.

Puisque Nicolas Sarkozy veut réviser les statistiques du PNB, suggérons lui de privatiser tous ces organismes publics et d’en finir avec leurs comptes fantastiques.

Gérard Pince

dimanche 13 janvier 2008

Sifaoui - "Que les islamistes quittent les pays qu’ils considèrent impies et mécréants."

Moi je suis quelqu’un qui ai choisi l’Europe. Comme mode de vie. Voilà. C’est un mode de vie qui me convient. La laïcité me convient. La démocratie me convient. La république me convient. Très bien. »

Alors pourquoi ils ne sont pas dans la même cohérence ?

« Qu’ils quittent tout simplement les pays qu’ils considèrent impies mécréants et tout ce qu’on veut. Et qu’ils aillent dans des pays comme l’Arabie saoudite par exemple. »

Et c’est ce que je leur ai dit déjà.

J’ai eu l’occasion de dire ça à un imam pendant la polémique sur le voile.

Je lui ai dit au moins là-bas, vous ne vous battrez pas pour que vos femmes portent le voile. Là-bas, on vous battra pour que vos femmes portent le voile. Donc c’est intéressant.

Mohamed Sifaoui :

Ibn Warraq défend l’Occident, critique Edward Saïd et l’islam

Quelques extraits de : Defending the West (2007). par Ibn Warraq

http://pointdebasculecanada.ca

« Ce qui rendait presque impossible toute critique de l’islam en particulier, et du monde non-occidental en général, était la peur chez les intellectuels occidentaux d’être appelés « orientalistes », conduisant à l’auto-censure et à un respect exagéré des sensibilités musulmanes. De la même façon aujourd’hui, des accusations d’islamophobie sont jetées à ceux qui osent critiquer la plus critiquable de toutes les religions, dans le but de réduire au silence et de régler hors cour ce qui sont, en fait, des préoccupations parfaitement légitimes quant à la sécurité et l’influence négative de l’islam sur les institutions occidentales. Le résultat est mon nouveau livre, Defending the West (2007), une tentative pour aborder une nouvelle fois deux tâches connexes - la défense de l’Occident et une critique des arguments d’Edward Saïd qui ont réussi à taire la pensée critique et placer tous les intellectuels occidentaux sur la défensive. »

« Les pays islamiques ne pourront jamais faire des progrès s’ils continuent à blâmer tous leurs maux sur l’Occident et à refuser la liberté de conscience, le pluralisme religieux, la laïcité des institutions, l’égalité entre les hommes et les femmes et entre musulmans et non musulmans. »

« Il y a des musulmans modérés, mais l’islam lui-même n’est pas modéré. L’Islam lui-même est une idéologie fasciste. Il n’y a aucune différence entre l’islam et le fondamentalisme islamique, il y a tout au plus une différence de degré mais pas de nature. »

La déclaration de St. Petersburg, lue par Ibn Warraq

mardi 1 janvier 2008

Des maires attaqués parce qu’ils n’appliquent pas la préférence étrangère.

vdfr95.com
COURRIER DES LECTEURS
Je voulais vous faire part des démêlés que deux maires résistants, ont eus avec la justice à l’instigation de SOS-Racisme. Dans le quotidien Le Progrès, du 17 octobre dernier, un article évoque « de nouvelles mises en examen pour discrimination raciale, après un premier non-lieu. » Alain Tuduri, le maire de Pont-de-Chéruy, et Daniel Beretta, celui de Villette-d’Anthon, sont « soupçonnés d’avoir fait jouer leur droit de préemption pour empêcher des ventes immobilières à des acheteurs d’origine maghrébine ou turque. »
En 2006, ces deux maires, tous deux réélus régulièrement depuis 18 ans, donc appréciés de la population locale, avaient bénéficié d’un non-lieu. Mais, comme dit le journal, « SOS-Racisme n’entendait pas en rester là. » L’instruction se poursuit donc. Alain Tuduri explique vouloir lutter contre les ghettos. »
Comme dans toute la France envahie, des associations subversives subventionnées avec l’argent des contribuables essaient de faire condamner quelques élus clairvoyants qui, en toute légalité, essaient d’endiguer le péril qui s’annonce. La région de l’Isère, très proche du Lyonnais, est devenue une terre conquise de la Turquie. Depuis trente ans, des ouvriers étaient venus dans l’industrie textile, aujourd’hui disparue. Mais malheureusement, grâce à la complicité des pouvoirs publics, ils avaient fait venir les familles. Cette région est surnommée la « petite Cappadoce », c’est tout dire…

Pierre L. (38, Pont-de-Chéruy)