dimanche 13 janvier 2008

Ibn Warraq défend l’Occident, critique Edward Saïd et l’islam

Quelques extraits de : Defending the West (2007). par Ibn Warraq

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« Ce qui rendait presque impossible toute critique de l’islam en particulier, et du monde non-occidental en général, était la peur chez les intellectuels occidentaux d’être appelés « orientalistes », conduisant à l’auto-censure et à un respect exagéré des sensibilités musulmanes. De la même façon aujourd’hui, des accusations d’islamophobie sont jetées à ceux qui osent critiquer la plus critiquable de toutes les religions, dans le but de réduire au silence et de régler hors cour ce qui sont, en fait, des préoccupations parfaitement légitimes quant à la sécurité et l’influence négative de l’islam sur les institutions occidentales. Le résultat est mon nouveau livre, Defending the West (2007), une tentative pour aborder une nouvelle fois deux tâches connexes - la défense de l’Occident et une critique des arguments d’Edward Saïd qui ont réussi à taire la pensée critique et placer tous les intellectuels occidentaux sur la défensive. »

« Les pays islamiques ne pourront jamais faire des progrès s’ils continuent à blâmer tous leurs maux sur l’Occident et à refuser la liberté de conscience, le pluralisme religieux, la laïcité des institutions, l’égalité entre les hommes et les femmes et entre musulmans et non musulmans. »

« Il y a des musulmans modérés, mais l’islam lui-même n’est pas modéré. L’Islam lui-même est une idéologie fasciste. Il n’y a aucune différence entre l’islam et le fondamentalisme islamique, il y a tout au plus une différence de degré mais pas de nature. »

La déclaration de St. Petersburg, lue par Ibn Warraq