mardi 1 janvier 2008

Des maires attaqués parce qu’ils n’appliquent pas la préférence étrangère.

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COURRIER DES LECTEURS
Je voulais vous faire part des démêlés que deux maires résistants, ont eus avec la justice à l’instigation de SOS-Racisme. Dans le quotidien Le Progrès, du 17 octobre dernier, un article évoque « de nouvelles mises en examen pour discrimination raciale, après un premier non-lieu. » Alain Tuduri, le maire de Pont-de-Chéruy, et Daniel Beretta, celui de Villette-d’Anthon, sont « soupçonnés d’avoir fait jouer leur droit de préemption pour empêcher des ventes immobilières à des acheteurs d’origine maghrébine ou turque. »
En 2006, ces deux maires, tous deux réélus régulièrement depuis 18 ans, donc appréciés de la population locale, avaient bénéficié d’un non-lieu. Mais, comme dit le journal, « SOS-Racisme n’entendait pas en rester là. » L’instruction se poursuit donc. Alain Tuduri explique vouloir lutter contre les ghettos. »
Comme dans toute la France envahie, des associations subversives subventionnées avec l’argent des contribuables essaient de faire condamner quelques élus clairvoyants qui, en toute légalité, essaient d’endiguer le péril qui s’annonce. La région de l’Isère, très proche du Lyonnais, est devenue une terre conquise de la Turquie. Depuis trente ans, des ouvriers étaient venus dans l’industrie textile, aujourd’hui disparue. Mais malheureusement, grâce à la complicité des pouvoirs publics, ils avaient fait venir les familles. Cette région est surnommée la « petite Cappadoce », c’est tout dire…

Pierre L. (38, Pont-de-Chéruy)