samedi 8 mars 2008

A Grigny, on ne cherche même plus à comprendre

http://grouik-grouik।org/
SITA  FranceBlason du califat islamo-communiste de GrignyCe qui frappe dans les différentes déclarations ayant suivi les graves incidents survenus cette semaine à Grigny - un guet-apens contre quatre policiers et une classe de l'école du Buffle incendiée, c'est la résignation avec laquelle les habitants prennent les événements - contrairement à Toulouse où on cherche au moins à comprendre.

sacrifice musulman de mouton à Grigny ait el kebirCertes, il existe un comité "Stop la Violence" créé suite à l'agression dont ont été victimes deux enseignantes en novembre dernier... mais à part dire "Stop la Violence" et "plus de policiers de proximité" (= poulets bons pour le sacrifice à ma place [cf. photo de gauche : scène de la vie ordinaire à Grigny : entraînement djihadiste sur mouton]), on ne cherche absolument pas à connaître les causes profondes d'une intifada quasi permanente.

collectif stop à la violence grignyLa photo de droite a été prise le 1er février 2008, lors de la réunion du collectif "Stop la Violence" : un coup d'oeil rapide sur l'embâchée de gauche permet de comprendre immédiatement qu'un tel collectif est une jolie farce qui ne résoudra strictement aucun problème. Et d'ailleurs comme le dit le journal Le Républicain avant les incidents de cette semaine : "malgré les appels au secours et une première manifestation, les écoles et collèges de Grigny sont toujours autant touchés par des agressions en tous genres".

Le Parisien du 5 mars a quant à lui eu droit à quelques confidences d'une indigène locale (Denise) et de colons musulmans (Kader et Mounaïm) suite à l'initiative bon enfant de la police d'en appeler au civisme des Envahisseurs. Remarquez le contraste saisissant des attitudes, c'est le choc des civilisations en action :

Sur place, la loi du silence reste bien souvent gravée dans le béton des bâtiments gris délavé. « On a peur, soupire Denise, qui habite depuis trente-huit ans à Grigny. On vit dans la crainte permanente. Je ne sors plus après le coucher du soleil. Une de mes amies s'est fait voler son sac en venant chez moi. Elle ne veut plus venir, comme le reste de ma famille. »

L'anonymat garanti pour toute personne qui contacterait le numéro indiqué sur le tract ? Elle n'y croit que très modérément. « La plupart des gens, ils parleront pas, prévient Kader, 15 ans. Ce sont tous des darons et des daronnes du quartier (NDLR : des pères et des mères) ... » L'espace de quelques minutes, lui et son copain Mounaïm, capuches noires sur le crâne, dialoguent avec une poignée de policiers en faction. « Donnez-moi 20 €, je vous dis tout », fanfaronne Kader. « Tu crois que c'est leur boulot aux policiers de se faire tirer dessus ? », le rembarre un fonctionnaire. « C'est dommage, mais ils sont payés pour ça, reprendra Mounaïm en aparté. En plus, j'suis sûr. Quand il prend une balle, il a une prime. »

Le maire de la petite ville essonnienne, Claude Vasquez (PCF), déclare à propos de l'incendie de la classe : « C'est un acte scandaleux ! Cet équipement est indispensable à la population et à l'éducation des enfants ». Pourtant, Claude Vasquez doit savoir qu'il n'est qu'au début de ses peines. En effet, comme si la mairie n'avait pas assez de problèmes avec l'islam, entre agressions en tout genre (carjacking, actes antisémites, viols collectifs etc.), trafics de drogue et misogynie généralisée(*)... elle mène depuis des années une politique active de collaboration, notamment à coup de conférences antisémites subventionnées à laquelle le maire lui-même ne dédaigne pas participer. Cette politique a débouché à la fin de l'année dernière sur un pacte de non-agression soviético-islamique avec octroi aux forces d'occupation d'un terrain pour l'installation d'une Kommandantur locale - une mosquerne géante.
logo mosquée al haqq grigny
Le maire Claude Vazquez et Abdelhak Eddouk, le président de l'association de l'Union des Musulmans de Grigny (UMG) (nous reproduisons le logo du site de l'UMG ci-dessus) ont signé début octobre une promesse de bail sur le terrain de la future mosquée d'une capacité de 1 800 places (pour 25 000 habitants !), qui devrait ainsi devenir la septième du département. Le conseil municipal essentiellement communiste a voté à l'unanimité et à main levée pour offrir à l'islam un terrain municipal à proximité du commissariat C'est clairement agir en contradiction avec les lois du pays et fouler aux pieds les principes de bases de son propre parti - ce bon vieux Marx doit s'en retourner dans sa tombe।
par Imam Grouik-ग्रौइक.