mercredi 5 mars 2008

Envoyé Spécial sur la répération d’hymens : cachez cet islam que je ne saurais voir

mediaslibres.com
[...] Il a été passionnant d’entendre les arguments émis par les jeunes filles qui sont demandeuses de cette reconstitution. C’est pratiquement toujours la même chose : la peur du futur mari, de la famille, voire de la belle famille, et l’honneur.
On a frémi d’entendre cette jeune femme, d’origine hexagonale, qui allait épouser un Algérien déniché par sa famille, au pays, et qui, bien qu’en désaccord avec la démarche, acceptait de la subir, pour plaire à sa belle famille. Aujourd’hui l’hymen, demain le voile ? Mariage forcé en tout cas.
Des discussions animées, entre filles et garçons, sur la virginité, auraient, là aussi, mérité bien d’autres débats. Car entendre des garçons des cités, nés en France, déclamer « qu’ils ne veulent pas d’une meuf qui s’est fait déchirer dans les caves » aurait mérité un approfondissement nécessaire. Entendre le même dire qu’il préfère « aller chercher les femmes au bled, on est certain qu’elles sont vierges » ou un autre raconter que « lui s’en fout qu’elle soit vierge, pourvu qu’elle soit musulmane, et pour le jihad », est pour le moins inquiétant !
[...] Une thèse que récuse avec vigueur le professeur Nisand, responsable du pôle de gynécologie du CHU de Strasbourg, qui, avec des mots très forts, et sans ambiguïté, dénonça toute concession médicale faite à ce retour à l’ordre moral de ceux qui « placent leur honneur entre les cuisses des jeunes filles », montrant que c’est cette doctrine qui amène les mariages forcés et les lapidations dans d’autres pays, et s’indignant que la demande de virginité ne touche que les seules femmes.