mercredi 21 mars 2007

Une invasion idéologique souterraine

L'islamisme n'est pas seulement représenté par des organisations terroristes (la branche armée) elle est également supporté par un courant de pensée qui a la particularité de se cacher derrière de faux bons sentiments pour tromper son monde (égalité, non discrimination pauvreté ect...) . elle utilise la stratégie sectaire pour enroler dans ses rangs des sympathisants (les idiots utiles) des milieux universitaires et politiques. Se considérant indigènes de la République ; ils voudraient convertir les colons attachés à leur vieille République devenus repentants à leur juste cause pour enfin retrouver les vrais valeurs d'une République indigène modernisée. (ou comment coloniser la France par derrière sans que çà fasse mal ?) leurs cible évidente c'est la République et plus précisément sa constitution et ses lois. Ne faudrait-il pas l'amender par quelques lois religieuses inspirées par la charia ? on la débarrasserai ainsi de son côté post-coloniale.... quelques exemples : abrogation de la loi sur le port du voile, institution d'une nouvelle loi contre les blasphèmes qui viendrai parfaire la liberté d'expression, adapter la loi sur la laïcité pour la faire mieux correspondre aux exigences de la modernité et du multiculturalisme français... Non la République ne se compromettra pas avec la charia !

Dans son bloc-notes Le Figaro.fr Ivan Rioufol dit -" Ségolène Royal et François Bayrou ....Répliquant à Nicolas Sarkozy et à son projet de ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale, elle s'est offusquée de « l'amalgame assez ignoble »....Quant au respect de l'autre, récité par Bayrou, il ne peut être exigé du seul pays d'accueil...Lorsque le mouvement Les Indigènes de la République assure : « Nous sommes ici chez nous, que l'on ait ou non la nationalité française, sans obligation de se fondre dans une quelconque identité majoritaire », faut-il que la France s'excuse et s'efface ? « J'y suis, j'y reste », affichent des mouvements de sans-papier. Mais leurs pays d'origine n'accepteraient pas une telle prétention d'Occidentaux à s'installer chez eux. La France n'est pas respectée, car elle ne se respecte plus. Un élu communiste, André Gerin, député maire de Vénissieux, l'écrit cette semaine (Les Ghettos de la République, Éditions les quatre chemins) : « Ce qui m'inquiète à présent : tout ce qui est républicain est contesté et un sentiment anti-France se développe. » Il dit aussi : « Sont perceptibles les germes d'une guerre civile, je n'exagère pas. » Nos nombrilistes n'entendront pas. Mais serait-il interdit de tenter de prévenir le désastre qui vient ? Le temps des exigences N'en déplaise à Ségolène Royal et François Bayrou, l'identité française est menacée, et gravement. Menacée par l'école, qui a renoncé à transmettre une culture commune, alors même que le christianisme recule et que l'autorité de l'État vacille en se pliant aux repentances et autoflagellations exigées des minorités. Menacée par une immigration invitée, cette fois, à garder ses codes et ses moeurs, au nom de la diversité et du multiculturalisme, ce poison défendu par Jacques Chirac en 2003 (bloc-notes du 1/12/06). ...Dans son remarquable discours de Caen, vendredi, Nicolas Sarkozy a fermé la porte à ce communautarisme dont on lui faisait procès : « La France c'est un art, c'est une culture, c'est une manière d'être et de penser. La France c'est la pensée claire, c'est la raison, c'est l'esprit des Lumières. C'est aussi deux mille ans de christianisme, deux mille ans de civilisation chrétienne. » Ce pays-là est ouvert à tous, pourvu d'en partager sa langue, son histoire et ses valeurs, comme l'ont fait, hier, tous les immigrés européens et, aujourd'hui, nombre de Maghrébins, Africains ou Turcs..." .-"La France est en droit d'attendre l'allégeance à un code commun, si elle veut éviter la désintégration de l'Etat-nation. « Elle doit exiger qu'on em-brasse son éthique », disait Élie Barnavi, ancien ambassadeur d'Israël en France.