mardi 30 octobre 2007

Affaire Truchelut - Horia Demiati, née Nhari, il va falloir comprendre...


...qu'il n'est pas bon pour l'avenir d'une jeune analyste financière titulaire de papiers français, allogène, de pratiquer harcèlement moral et intimidations à visée pécuniaire sur une mère de famille autochtone cinquantenaire.
Allochtone Horia Demiati, née Nhari, vous avez délibérement provoqué la propriétaire d'un gîte rural en vous présentant avec un substitut de serpillère sur la tête (communément nommé "foulard islamique") pour crier silencieusement aux femmes présentes dans ce gîte qu'elles étaient toutes des salopes puisque ne souhaitant pas se cacher le mufle derrière un rideau portatif "marque de leur vertu" et "frein contre les discours du public" comme l'indique le coran, sourate (chapitre) XXXIII (33), verset 57 [59].

En France, la coutume est de virer les enquiquineurs à grands coups de pompes dans le derrière. Par galanterie (voir le dictionnaire) on vire les enquiquineuses sans les coups de pompe. Vous avez été virée ou peu s'en faut, et c'était tout ce que vous méritiez.

Grâce à la complicité de fonctionnaires de l'administration judiciaire ayant perdu pied d'avec la réalité, et de leurs séides habituels, tous de la même trempe que ceux qui, sous Pétain, condamnaient les Gaullistes, vous avez pleinement réussi votre agression puisque toutes les hyènes ont été conviées à la curée du racket sur votre victime.
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