jeudi 20 septembre 2007

Immigration : la guerre ethnique est engagée

les4verites.com

Lambert Christian - mercredi 19 septembre 2007

immigration, violence
Depuis des années, je dis et j’écris que l’immigration incontrôlée en majorité d’origine africaine qui submerge la France va finir en graves affrontements ethniques. Moyennant quoi, j’ai été traité de raciste et fasciste, en particulier par des associations et autres groupuscules qui militent en faveur du racisme anti-Blanc et anti-Français, mais qui sont néanmoins subventionnés par l’État.
[...] Que va-t-il se passer maintenant ? La réponse est simple. Cette situation ne peut qu’empirer. Les immigrés d’Afrique noire seraient en France plus de deux millions, y compris de très nombreux clandestins, tous, au demeurant, cependant, plus ou moins assistés. Il en arrive quelque 300 000 nouveaux par an et 300 000 élèves du primaire sortent de l’enseignement, chaque année, presque analphabètes.
Ceci étant, et étant désastreux, je n’hésite pas à dire que le laxisme ou plutôt cette sorte de complicité de fait avec la délinquance des immigrés, le terrorisme islamique sous-jacent, la délivrance de visas à tout va de la part de nos « responsables » sont véritablement criminels. Qu’un brave Français qui aura reçu un coup de machette sur la tête ou qui aura vu son magasin dévalisé vienne me dire le contraire !

Extrait des commentaires à l'article : par Gérard Pierre.

Sir Thomas GRESHAM, commerçant et financier anglais qui vécut au seizième siècle, est à l'origine d'une loi qui porte son nom en économie et qui s'énonce en substance : " Sur un territoire donné et à un moment donné, la mauvaise monnaie chasse la bonne ". La bonne monnaie était thésaurisée, tandis que la mauvaise était remise en circulation sitôt que perçue. On a pu voir ainsi, en URSS, des dollars frileusement conservés par ceux qui en détenaient tandis que ces détenteurs se " débarrassaient " de leurs roubles dés la première transaction.

De la même manière, cette loi est sociologiquement transférable et observable : " Sur un territoire donné et à un moment donné, la mauvaise population chasse la bonne. " Dans le langage populaire cela se traduit par: " C'est le plus gêné qui s'en va ". Cette vérité se vérifiant quotidiennement, les mauvaises populations ont toutes les chances de prospérer en nombre et en ......... économie parallèle.

Le mot " guerre " ne fait jamais peur à ceux qui la veulent réellement. En revanche, il fait pousser des cris d'orfraie à tous les pacifistes qui en sont menacés vis-à-vis de ceux qui, objet de la même menace qu'eux, la dénoncent et envisagent courageusement de ne pas la subir. Alors, une fois de plus, se met en action le principe de l'inversion. Le dénonceur est promu " va-t-en guerre " en lieu et place de celui qui menace réellement le monde et les verbeux de tous crins se joignent à la curée. C'est ainsi que Bernard Kouchner se retrouve au banc des accusés et que tout le monde médiatique feint d'oublier l'immonde Mahmoud Ahmadinejad, ses menaces de mort envers Israël, ses pasdaranss et toute sa "philosophie" de mort.

La guerre que nous vivons en ce moment est réellement une guerre. Je sais que cela est dur à admettre quand on sait les efforts de langage inouis qu'ont fait les gouvernements de la seconde moitié du vingtième siècle pour nous faire croire que, même celle d'Algérie entre 1954 et 1962, n'en était pas une. C'est une guerre idéologique: ISLAM contre tout ce qui n'est pas musulman . Le fait que l'islam soit majoritairement plus répandu dans certaines populations, ....... sub sahariennes, comme dit pudiquement Christian Lambert, ...... fait espérer à certains stratèges qu'elle passe pour une guerre ethnique et raciste ( surtout si ça en a toutes les apparences car, ne l'oublions jamais, nous sommes dans l'ère de l'image ). Ainsi à l'arsenal du terrorisme classique pourront-ils ajouter celui du recours à la magistrature, ... aux ligues de vertu civique, ... aux défonseurs des droits du contribuable, ... et à tous les va-de-la-gueule en mal de micros et de plateaux de télévision.

Quel sera le point de basculement de l'opinion ?... car il y en aura un ! ... à suivre.